Les registres inférieurs des murs présentent de grandes chutes de plâtre/enduit ayant entraîné la perte plus ou moins partielle du décor ; l’eau transportant des sels solubles qui ont ensuite cristallisé est vraisemblablement à l’origine de la dégradation de ces zones.
Quelques fissures sont présentes (« Moïse et le Buisson Ardent », « l’Eté »).
On relève également sur l’ensemble du cycle de l’Ancien Testament beaucoup de soulèvements évolutifs
et de nombreuses lacunes parfois anciennes.
Quelques lacunes sont présentes dans les Saisons, peut-être consécutives à la présence d’humidité dans les murs.
Photos et textes extraits de "MEMOIRE TECHNIQUE Salle à l’Italienne – Hôtel de ville, ancien Palais Episcopal de Viviers" - 26 février 2016 - par Laurence Didier - tous droits réservés